Une histoire d’amitié au goût amer de goyave

TI JEAN

Ti Jean - Compagnie Soleil Glacé (4)

L'HISTOIRE

Arrivé dans une « espèce de ville » après un long voyage, Ram, homme de nulle part, recherche Ti Jean, son compagnon de route, qui s'est enfui juste avant qu'ils n'aient franchi les portes.

Ram a quitté sa terre. Depuis son départ, il est poursuivi par une pluie mystérieuse. Il arpente le monde pour fuir le nuage, sans succès. Au moment où commence notre pièce, il est perdu au milieu d'une foule muette, dans une rue. Il désespère de ne pas retrouver son ami. Ti Jean était la seule personne dont la compagnie faisait cesser la pluie qui le frappait.

Ti Jean est alors un spectacle où le public est placé en quadrifrontal. La partition est physique, misant sur la présence forte de Martin Jaspar, qui porte plusieurs personnages avec une désarmante sincérité.

GÉNÉRIQUE

  • Création 2016 – Théâtre de l'Opprimé
  • Texte et mise en scène : Paul Francesconi
  • Avec Martin Jaspar
  • Production : Compagnie Soleil Glacé
  • Co-production : Festival 12X12, le 100ecs, Théâtre de la Ferme Godier – Issue de Secours, Théâtre du Grand Marché – Centre Dramatique de l'Océan Indien
  • Avec le soutien de la DRAC Ile de France (dans le cadre d'un CLEA) et des villes de Dugny, Drancy et le Bourget.

Martin Jaspar obtient le prix du meilleur comédien du comité de spectateur du Théâtre de l'Union – CDN en 2019

PHOTOS & VIDÉO

RÉPRÉSENTATIONS PASSÉES

  • Décembre 2016 : Festival 12X12 – Théâtre de l'Opprimé. (1 représentation)
  • Mars 2017 : Festival Paroles Paroles, Honfleur. (1 représentation)
  • Avril 2017 : Salle Henry Salvador, Dugny. (1 rep) / Médiathèque George Brassens, Drancy. (1 représentation)
  • Juin 2017 : Mille Club, le Bourget. (1 représentation)
  • Octobre 2017 : Théâtre du Grand Marché – Centre Dramatique de l'Océan Indien. (3 représentations)
  • Mai 2018 : La Ferme Godier – Villepinte. (1 représentation)
  • Février 2019 : Théâtre de l'Union – CDN du Limousin (3 représentations)
  • Août 2019 : Festival Champ Libre (1 représentation)

PRESSE

« Presque chorégraphique, sa partition est aussi bien corporelle que textuelle, rappelant les codes du théâtre asiatique, et notamment, du butô japonais. Au bord de la folie, le personnage habite l’espace, s’y développe, y grandit, du marmonnement aux cris. Sa proximité avec les spectateurs nous saisit, fait de nous les habitants de cette ville si étrange et si peu accueillante dans laquelle il a atterri. La détresse du personnage nous atteint directement, et son travail de deuil, nous l’opérons, nous aussi. »

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